21 décembre 2012 : la fin du monde ?
2012 : la fin du monde ? Cette question sur la date de l'apocalypse hante les esprits les plus crédules, les plus avides de catastrophisme et les plus arnaqueurs depuis près de trois ans. Heureusement, la science nous apporte quelques éclairages essentiels sur ces canulars à mourir.. de rire !
Pollution atmosphérique : 400 000 morts prématurées en Europe
Cet été (2005), la Commission européenne présentera une nouvelle stratégie globale destinée à améliorer la qualité de l'air en Europe. Celle-ci intervient à la suite des conclusions alarmantes dégagées par des études menées récemment, montrant que la pollution atmosphérique en Europe est beaucoup plus importante que prévu.
Les abeilles, témoins du bon état de notre environnement, disparaissent massivement
Les abeilles, piliers de la pollinisation et donc de la présence des fleurs, fruits et légumes disparaissent massivement dans de nombreuses régions du monde, laissant perplexes les scientifiques qui ne manquent toutefois pas d'arguments puisés notamment dans la pression insoutenable des activités humaines sur l'environnement.
Un nouveau "continent" de déchets a été découvert dans l'océan Atlantique Nord !
On la croyait spécifique au nord-est de l'océan Pacifique, la célèbre "grande plaque de déchets du Pacifique" a finalement son équivalent dans l'Atlantique Nord : un nouveau continent de déchets déjà plus grand que la France a été découvert !
Le déclin de l'industrie nucléaire
Alors que la situation sur la centrale de Fukushima Daiichi reste très critique et que l'évaluation de la gravité de la catastrophe a largement été sous-estimée, un rapport du Worldwatch Institute montre que l'industrie nucléaire était en déclin, et ce, bien avant la catastrophe japonaise.
jeudi 23 juin 2011
Fracking - Is It Worth Risking Our Water Supply?
Getting The Best Protection From Pest Control Services
The Secret Of The Triumph Of Poly Bags Is Their Versatility In The Journey Of Consumerism
Pollution, co2, voiture et vous
Si vous voulez polluer le moins possible au volant de votre véhicule, le meilleur choix ces temps-ci sont les voiture hybrides ou à gaz naturel. C'est en tous cas ce que révèle le rapport de l'Empa (http://www.empa.ch). Un laboratoire fédéral suisse qui s'est entre autre spécialisé dans les carburants alternatifs, dont le gaz. À ce propos il paraîtrait que le taux d'émission de co2 des voitures à gaz soit plus bas que celui des voitures hybrides sur autoroute et que celles-ci reprennent l'avantage dans un environnement urbain.
D'après les tests de ce laboratoire, les voitures à essence ou diesel arrivent bien derrière en ce qui concerne les émission de CO2. Or l'émission de CO2 des voitures serait responsable de près de 26% du phénomène de réchauffement que doit endurer notre atmosphère.
Co2 et voiture, le couple infernal ?
Le Co2, ou gaz carbonique, est un gaz à effet de serre. Ce type de gaz a la facheuse habitude d'absorber le rayonnement infrarouge, les couleurs invisibles à l'oeil nu et qui se situent avant le rouge de l'arc-en-ciel. À cause de cela le rayonnement solaire est bloqué en partie entre la terre et notre atmosphère, ce que l'on croit responsable du réchauffement planétaire. Dans ce phénomène du à l'augmentation des émissions de co2, voiture et autres moyens de transport y sont donc pour beaucoup.
L'EMPA travaille actuellement sur des prototypes de véhicules hybrides au gaz dans le but de minimiser de 30% les émissions de co2 d'une voiture. Le laboratoire travaille de concert avec Volkswagen et l'EPF de Zurich. Ainsi, pour eux, la meilleure alternative sont le véhicules fonctionnant au gaz ou l'hydrogène.
En diminuant de 25 à 30 % des émissions de co2, voiture, autocar et camion pourraient alors devenir un état de fait clairement moins menaçant concernant la pollution. Mais est-ce véritablement une solution rapide ? Vous-même avez probablement déjà un véhicule que vous ne souhaitez pas nécessairement changer très bientôt au profit d'un véhicule hybride. Bien sûr, la protection de notre atmosphère est une priorité, mais il faut néanmoins avoir les moyens financiers pour acheter un nouveau véhicule étudié pour être moins polluant.
Que faire alors, pour baisser le co2 de votre voiture ?
Des systèmes assez facile à mettre en place peuvent être placés sur votre véhicule et abaisser sa consommation d'essence de 35 à 45%. Ces astuces ont été testées et marchent vraiment. Qui dit diminution de consommation, dit également diminution des rejets. Ainsi, si votre voiture consomme 35% d'essence en moins, du jour au lendemain, son émission de co2 diminuera d'autant. Ce qui est un pas de géant dans la quête de la diminution des émissions de co2 des voitures.
Se chauffer à l'énergie solaire
Bien sûr, se chauffer intégralement à l'énergie solaire n'est pas réaliste compte tenu des possibilités technologiques actuelles, mais faire installer des panneaux solaires permet de faire baisser la facture. Un chauffe-eau solaire permet de fournir jusqu'à 70% de l'eau chaude sanitaire nécessaire pour une famille. Les panneaux solaires thermiques (à ne pas confondre avec les panneaux photovoltaïques qui, eux, produisent de l'électricité) sont parfaits pour assurer les besoins en eau chaude, qu'elle soit sanitaire ou destinée au chauffage. Le principe est simple : les capteurs solaires emprisonnent la chaleur du soleil, et se servent de celle-ci pour chauffer un cumulus par l'intermédiaire d'un fluide caloporteur. Cette eau chaude est ensuite utilisée pour les besoins quotidiens des occupants de la maison, mais aussi pour alimenter un circuit soit de radiateurs, soit de planchers chauffants, qui s'occuperont de chauffer la maison, tout comme le feraient des radiateurs classiques, reliés à une chaudière.
L'avantage certain de cette méthode est donc qu'elle peut être adaptée en fonction des besoins et, s'il est sans doute préférable d'envisager un plancher chauffant lorsque l'on fait construire, les travaux nécessaires pour intégrer une telle installation dans une maison déjà construite seraient bien trop coûteux par rapport aux économies réalisées. Dans ce cas de figure, on pourra simplement raccorder les radiateurs déjà existants à la nouvelle installation, ou faire poser des radiateurs si la maison n'en comporte pas.
Il est cependant nécessaire d'envisager un système de chauffage complémentaire, car le solaire couvre rarement la totalité des besoins sur l'année entière. Ainsi, en hiver, il fait non seulement plus froid mais l'ensoleillement est limité. Le système le plus avantageux et le plus écologique est sans doute la chaudière à bois ou le poêle à bois, qui peut être raccordé au circuit de chauffage de l'eau, permettant ainsi de continuer à chauffer uniformément la maison et d'assurer une quantité suffisante d'eau chaude sanitaire.
Quoi qu'il en soit, assurez-vous de toujours vous adresser à un professionnel reconnu avant d'entreprendre l'installation d'un système de chauffage à l'énergie solaire, car celle-ci peut s'avérer très délicate, notamment en matière de sécurité. Mais installé correctement, avec des matériaux certifiés de première qualité et un entretien régulier, ce type de chauffage vous durera de nombreuses années, durant lesquelles vous pourrez effectuer des économies très intéressantes. Et comme chaque maison est différente, faites établir un devis avant de vous lancer, pour avoir une idée réelle du rendement que vous pourrez espérer obtenir.
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Chauffage au bois et panneaux solaires : la combinaison gagnante
Car en effet, l'installation la plus avantageuse pour ce qui est d'utiliser une énergie entièrement propre, et la plus autosuffisante possible est sans doute le chauffage grâce à un circuit d'eau chaude, qui alimente soit des radiateurs soit un plancher chauffant. De cette façon, l'eau, quelle que soit la manière dont elle est chauffée, passe par toutes les pièces de la maison et en réchauffe ainsi l'atmosphère.
La méthode est la suivante : en hiver, quand l'ensoleillement est le moins important, on utilise une chaudière à buches classiques, à granulés de bois ou bien même un poêle à bois, connecté à un ballon chauffe-eau deux en un. Ce ballon, en plus d'avoir la particularité de pouvoir chauffer l'eau à la fois grâce à l'énergie solaire et à la chaleur dégagée par la chaudière, renferme en vérité deux réservoirs, un plus grand dédié au circuit de chauffage de la maison, et un second immergé dans le premier, qui fonctionne alors comme un véritable « bain marie », permettant de chauffer l'eau sanitaire. En été, lorsque la seule eau chaude nécessaire est l'eau sanitaire, les panneaux solaires, qui bénéficient en plus d'un meilleur ensoleillement, suffisent amplement, sans avoir besoin de faire fonctionner la chaudière.
Ce type d'installation permet de faire de grandes économies d'électricité, et est éligible pour prétendre à un crédit d'impôt. Quant aux avantages écologiques, les panneaux solaires sont excellents, puisqu'ils ont un bilan écologique positif, en produisant au cours de leur vis 7 fois plus d'énergie que la quantité ayant servi à leur fabrication. Pour ce qui est du bois comme combustible, il rejette en effet du CO2, mais en quantité égale ou inférieure à celle que l'arbre a absorbé au cours de sa vie, permettant ainsi de ne pas augmenter l'émission de gaz à effet de serre.
Le système nécessite d'être posé par un professionnel, car l'installation de certains éléments peut s'avérer délicate, notamment pour garantir la sécurité, et une durée de vie maximale. Sachez également qu'il faudra envisager une révision annuelle obligatoire.
Les compagnies proposant ce type d'équipement sont désormais nombreuses, notamment sur internet, et mieux vaut donc ne faire confiance qu'à celles qui proposent de réaliser un devis de vos besoins, plutôt qu'aux revendeurs qui certes vous vendront le matériel que vous désirez, mais ne vous fourniront aucune précision pour ce qui est de savoir si cet équipement conviendra réellement à l'usage que vous souhaitez en faire.
L'eau, une marchandise ?
Que faisons-nous des africains ou de ceux qui n'ont pas de réserve d'eau potable à leur porté, et qu'ils ne sont également pas en mesure de se payer de l'eau potable en plus ? Devrions nous les abandonné à leur sort et les laisser mourir de soif ou de maladies quelconque dû à un empoisonnement car ils ont bue de l'eau pollué car c'était leur seul source d'eau ?
Le Canada n'a pas de problème d'approvisionnement en eau potable car il contient des régions montagneuses et un climat froid et tempéré, des conditions favorables à l'eau. Il a une économie suffisante pour aller chercher l'eau et la traiter pour la rendre potable. Ce qui fait en sorte que nous pouvons avoir de l'eau potable à nos besoins alors que dans les pays plus au sud, qui ont un climat défavorable pour avoir de l'eau comme ceux du nord, essaie de survivre avec les réserves d'eau, souvent pollué, qu'ils ont. Les femmes et les enfants doivent faire plusieurs kilomètres pour trouver ces fameuses réserves. Un homme ayant accès à de l'eau potable suffisant pour ces besoins consomme environ 130 litres d'eau par jour alors qu'un homme habitant les pays ayant peu d'eau en consomme que quelques litres par jour. Certains pays parviennent à subvenir à certains besoins de leurs populations en eau grâce à leur économie, qui est pour la majorité le pétrole.
Nous avons toujours besoin d'eau. Soumettre l'eau comme une marchandise et non comme un bien interdirait aux personnes ayant moins d'argents de consommer de l'eau à leurs besoins, alors que les personnes ayant une fortune pourraient la gaspiller tant qu'ils le veulent. Même pour notre nourriture nous avons besoins d'eau. Les aliments que nous devons acquérir grâce à l'agriculture nécessitent beaucoup d'eau. L'agriculture coûte déjà assez chère, si l'eau devenait une marchandise qu'il faut payer, ce serait la fin des agriculteurs car ils ne feraient aucun profit.
La décision revient au gouvernement de prendre la bonne décision et ainsi éviter le conflit prochain, si l'eau devient une marchandise, entre les pays sur le partage équitable de cette ressource vital pour l'être humain.
Savez-vous comment faire des économies en préservant les ressources de votre planète ? part.2
"Nous avons besoin d'eau douce pour vivre, c'est notre bien le plus précieux."
29 Pays se partagent les deux tiers de la ressource d'eau !
1,3 Milliard de personnes n'ont pas accès à l'eau potable !
La consommation d'eau douce en France est d'environ :
- 150 Litres par jour et par habitant, soit :
- 50 000 Litres par an et par habitant, eau principalement utilisée pour l'hygiène.
A cela, rajoutez les autres consommations d'eau potable comme pour :
- laver la voiture,
- arroser les plantes ou le jardin
- faire la vaisselle...
Le 1er Août 2005, le WWF (Fonds National pour la Nature) écrit dans un communiqué de presse :
"[...]sur les 19 % d'eau prélevée en France, seulement 2,5 % sont utilisés à des fins alimentaires[...]."
Il est bon de savoir que moins de 50 % des eaux usées seront assainies avant leur retour à la nature.
Plusieurs rapports, tels les rapports IFEN, du Sénat, Keller ont déclaré que la qualité de l'eau était préoccupante.
En 1981, le Professeur Lefeuvre et son équipe rendaient déjà ce constat.
20 ans plus tard, une seconde étude réalisée avec le WWF annonçait, là encore, des résultats inquiétants : la pollution de l'eau de source par les nitrates et les pesticides dans la nature est en constante augmentation avec des répercussions sur l'eau distribuée.
Les principales pollutions de l'eau proviennent de l'agriculture, de l'industrie, des réseaux de collecte des eaux usées défaillants, du manque de performance des stations d'épuration...
Les pesticides, de plus en plus utilisés, généralisent l'infection de l'eau.
Les nappes et les rivières sont de plus en plus contaminées par les nitrates, et cette contamination est en progression également.
Ainsi, près d'un tiers du Territoire est concerné.
Alors, qu'allons-nous, qu'allez-vous faire, à votre niveau ?
Il est impératif que chacun d'entre nous prenne conscience de cette détérioration.
Nous devons, très rapidement, changer nos comportements !
Nous devons, absolument, gérer mieux notre consommation d'eau !
En effet, si nous continuons à polluer l'eau avec nos déchets ménagers (en plus des pollutions qui ne nous incombent pas), si nous n'adoptons pas, rapidement, des gestes et des habitudes pour économiser, alors, cet élément si précieux pour notre vie pourrait bien, un jour, disparaitre.
Dans la Part.3 de "Savez-vous comment faire des économies en préservant les ressources de votre Planète ?" je vous énoncerai quelques astuces, gestes très simples à mettre en place pour faire des économies d'eau, chez vous, avec vos enfants, dans votre quotidien.
Savez-vous comment faire des économies en préservant les ressources de votre planète ? part. 1
Le réchauffement climatique est une des conséquences de la pollution qui met, de nos jours la Planète en danger.
Tous les scientifiques sont à présent, ou presque, d'accord et tous les médias en parlent.
Les conséquences pourraient devenir dramatiques, si nous ne réagissons pas très vite.
Il est urgent, presque impératif, de devenir un consommateur averti et responsable !
Il est maintenant indispensable que chacun se soucie de son environnement et de la préservation de la Terre pour tout acte posé, pour toute prise de décision !
La vague bio, bien qu'encore récriée selon les aspects qu'elle "coûte cher" est pourtant une tendance prédominante.
Nombre d'entre nous ont déjà pris conscience des enjeux que cela représente, que ce soit au niveau de la nature, de l'environnement, de la santé.
Voici une liste, non exhaustive, d'éxemples démontrant l'urgence de changer notre façon de consommer pour économiser et préserver les ressources de la Planète :
- En 2004 (source ADENE) : il a été collecté 22 Millions de Tonnes de déchets ménagers produits par les 62 Millions de Français que nous sommes. Cela représente environ 350 Kgs par an et par habitant.
- Un Français jette en moyenne 16 Kgs de déchets d'équipements par an, soit 1,7 Million de Tonne. Ce poids augmente de 3 à 5 % chaque année.
- L'automobile consomme 4 fois plus d'énergie que les transports en commun.
- Au bureau, la consommation annuelle de papier s'élève à 50 Kgs par personne. 42 % du bois exploité commercialement est utilisé pour la fabrication du papier. Or, d'ici une dizaine d'années, la consommation mondiale de papier augmenterait de 40 %.
- Sur 2 Millions de cartouches d'encre pour imprimante vendues chaque année, seulement 10 % sont recyclées.
- Une entreprise de 200 personnes a une consommation globale annuelle de 100 000 gobelets en plastique provenant des distributeurs de café et des fontaines à eau.
Pour qu'un gobelet en plastique soit dégradé dans la nature, il faut entre 100 et 1000 ans.
- 1,3 Milliards de personnes sur la Planète n'ont pas accès à l'eau potable...!!!
En France, nous consommons environ 150 Litres d'eau par jour et par habitant, soit 50 000 Litres par an et par habitant.
- Une quarantaine de gaz à effet de serre ont été recensés parmi lesquels figure le CO2. Or :
- un chauffage au fioul émet 466 Kgs de CO2/Mwh,
- un chauffage au gaz émet 234 Kgs de CO2/Mwh,
- un chauffage électrique émet 200 Kgs de CO2/Mwh.
Vous voyez l'urgence ?
Alors réagissons ! Réagissez !
Changez vos comportements et votre manière de consommer. Vous deviendrez responsables si vous adoptez les éco-gestes et l'éco-attitude.
COMMENT FAIRE ?
Dans un premier temps :
- Réfléchissez à vos besoins réels et essentiels. Ne vivez plus pour acheter, mais acheter pour vivre.
- Choisissez des produits, des biens qui durent et qui sont économiques.
- Optez pour des produits n'ayant aucune incidence néfaste sur votre santé et sur votre environnement.
- Consommez des produits écologiques qui, dans leurs fabrications, respectent l'homme et l'environnement.
- Consommez Bio et local au lieu des produits manufacturés des grandes surfaces.
- Privilégiez les produits équitables...
Et, n'oubliez pas qu'en adoptant ces comportements et quelques uns de ces principes, vous prenez également soin de votre porte-monnaie. Car vous économisez.
Je vous en dis un peu plus dans les prochains articles de cette série : "Savez-vous comment faire des économies sur votre budget tout en préservant les ressources de votre Planète ?"
Comment faire des économies d'énergie au travail et à la maison
Premier poste d'économies d'énergie : l'eau
Ne tirez pas systématiquement votre chasse d'eau pour toutes les petites commissions. Certaines chasses d'eau consomment jusqu'à 10 litres d'eau par chasse ! Vous pouvez étudier l'éventualité de changer de WC pour un sanitaire plus économique.
Investissez dans un lave-vaisselle au lieu de tout laver dans votre évier. Prenez des douches le plus possible au lieu de bains qui consomment beaucoup plus d'eau.
Si vous n'en n'avez pas besoin, il est inutile, voire nocif de prendre systématiquement plus d'une douche par jour. Renseignez-vous sur toutes les petites extensions que vous pouvez installer facilement afin de réduire le débit de l'eau que vous consommez.
Deuxième poste d'économies d'énergie : l'électricité
Ne laissez pas vos appareils en mode « veille ». D'autant plus que certains appareils consomment plus en veille que lorsqu'ils sont allumés ! Éteignez les lumières des pièces où vous n'êtes pas. Utilisez des ampoules basse consommation et les leds, très économiques et durables.
Pour en savoir sur le sujet: Modifier vos modes de vie. Venez voir...
Troisième poste d'économies d'énergie : le chauffage
Si vous en avez la possibilité, bannissez le chauffage électrique, trop gourmand en énergie. Préférez le chauffage au gaz, au bois, ou les chauffages d'appoint.
Sachez qu'il n'y a aucun intérêt à chauffer votre habitation au-delà de 19°. Préférez vous habiller un peu plus chaudement. Vérifiez également l'étanchéité de votre maison pour éviter les fuites, et investissez dans le double vitrage si vous n'en bénéficiez pas.
Quatrième poste d'économies d'énergie : l'électroménager
Une classification établie par la Commission Européenne permet désormais de choisir ses appareils d'électroménager en fonction de leur consommation en énergie, A étant la meilleure note et G la moins bonne.
Sachez que parfois les équipements très anciens consomment actuellement plus d'énergie qu'un nouvel appareil, alors comparez les consommations, et songez à investir dans de nouveaux appareils…
Pratiquez-vous des économies d'énergie ? Venez vérifier…
Ces investissements peuvent vous sembler conséquents, mais il n'en est rien. Sur le court, moyen et long terme, vous réaliserez d'énormes économies d'énergie.
Le transport pas cher : oui, c'est possible !
D'ailleurs, quand on observe les modes de vie des pays développés, le transport peut être un poste de dépense conséquent au sein des ménages.
Mais pourtant, si l'on y regarde de plus près, des solutions simples sont à notre portée pour faire des économies sur le transport, que ce soit pour des trajets réguliers ou ponctuels.
Le transport pas cher : les traditionnels transports en commun
Certaines personnes utilisent leur voiture par simple habitude. Pourtant, le temps perdu dans les embouteillages, le budget carburant et les problèmes de parking ne semblent pas les rebuter.
Alors que souvent, utiliser les transports en commun (bus, tramways, métros, trains, cars, bateaux …) coûte moins cher et permet de préserver votre énergie vitale.
Si vous hésitez encore entre voiture et transports en commun, comparez les différents paramètres (durée, confort, coût, accessibilité, énergie perdue…) afin de savoir ce qui vous est le plus profitable.
Le covoiturage : une nouveauté pour le transport pas cher
Le covoiturage est non seulement une solution pour économiser les frais de transport, mais aussi un formidable acte de solidarité. En effet, accepter de transporter des inconnus, n'est pas forcément naturel ou anodin en soi.
De nombreux sites Internet et associations se proposent comme relais ou point de contact entre les personnes cherchant une voiture et celles en proposant une à partager.
Le principe est simple : les différents occupants partagent les frais, et parfois cela peut même revenir à un voyage gratuit pour le propriétaire et conducteur du véhicule.
Le transport pas cher : l'intemporel vélo
Le vélo semblait ringard à une certaine époque, mais désormais toutes les personnes sensibles à l'écologie et aux changements des comportements destructeurs pour l'environnement y sont sensibles.
Le vélo, de par sa taille et sa morphologie, permet parfois de faire plus vite certains trajets (surtout les plus courts), mais aussi de réaliser des économies importantes.
En effet, si votre lieu de travail est à moins de 40 minutes de votre domicile, pourquoi ne pas y aller en vélo plutôt que de dépenser des centaines d'euros de carburant ?
En dehors du coût d'achat du vélo, vous n'aurez pratiquement pas de frais supplémentaires. Et rien ne vous oblige à en acheter un neuf.
Un vélo d'occasion peut très bien faire l'affaire. Quelques villes européennes comme Amsterdam, ou encore certaines villes françaises, favorisent le développement de ce mode de transport pas cher.
Le transport pas cher : le futur sera –t-il à la voiture électrique ?
La voiture électrique est comme son nom l'indique une voiture fonctionnant uniquement à l'électricité. Il suffit de la charger sur secteur et on peut rouler pendant plusieurs heures en toute autonomie.
Cette technologie n'en est qu'à ses balbutiements, et d'ici peu pourrait être commercialisée à grande échelle.
C'est une solution économique, écologique et sympathique, surtout pour les résidents urbains, qui font de nombreux trajets courts ou moyens.
Rollers, trottinettes et autres « skates » : des gadgets ou de vraies solutions « pro » transport pas cher ?
Ces options qui semblent être à première vue du loisir ou des gadgets, peuvent pourtant être de vraies solutions de transports, utilisées seules ou combinées à d'autres moyens.
Le transport pas cher est donc l'avenir ; il suffit d'y être réceptif et de l'expérimenter progressivement, afin de faire les choix les plus judicieux.
Comment réduire la consommation de son frigo
Si vous rénovez votre cuisine, pensez à ne pas le placer près du four. En effet, dès l'ouverture de la porte, l'air chaud produit par le four rentrerait immédiatement dans le frigo. Pour diminuer la température, le frigo devrait consommer davantage.
N'hésitez pas à nettoyer les joints de la porte et à vérifier son étanchéité.
Veillez également à la bonne ventilation des grilles à l'arrière du frigo, le rendement n'en sera que meilleur.
Dégivrer son frigo est primordial pour réduire sa consommation.
Attendez que les aliments soient refroidis avant de les placer dans le frigo. A l'inverse, placer la veille les aliments à décongeler.
Rien ne sert de tenter d'atteindre les 1°C dans un frigo. Plus l'on veut descendre dans les températures, plus le frigo consomme : 4°C est un bon compromis.
Vous quittez pour plusieurs jours la maison. Vous évitez de laisser des aliments périssables. Pourquoi ne pas débrancher votre frigo et le nettoyer ?
Lorsque le frigo est rangé correctement, avec les mêmes aliments toujours au même endroit, la porte reste ouverte moins longtemps et par conséquent, le remplacement d'air est moindre.
Remplir trop son frigo entraîne une moins bonne circulation de l'air et donc un refroidissement plus difficile. A l'inverse, lorsque le frigo est vide, dès l'ouverture de la porte,l'air est immédiatement remplacé.
Faut-il croire aux produits anti-buée ?
On connaissait jusque là les films hydrophobes à coller ou à appliquer sur les vitres et fenêtres. Généralement réservés à un usage professionnel, ces écrans adhésifs coutent cher, sont difficiles à appliquer et nécessitent le recours à un installateur professionnel du vitrage pour leur installation. Dans un registre plus sophistiqué encore, de nouvelles générations de verre feuilleté avec traitement dans la masse prétendent venir à bout du problème de buée. Leur tarif rédhibitoire les rapproche toutefois plus du stade de prototype expérimental que d'une diffusion large pour le grand public.
Dans le domaine automobile, les seules solutions disponibles restent des produits nettoyant anti-buée pour intérieur de pare-brise. Très intéressants pour leur efficacité et leur action longue durée, ils présentent aussi un bénéficie non négligeable pour l'environnement en évitant de recourir à la climatisation pour désembuer le pare-brise. En effet, nombre d'automobilistes enclenchent la réfrigération de leur véhicule en hiver non pas pour des raisons thermiques mais parce que le dessicateur présent sur le circuit de climatisation assèche l'air et dégage le pare-brise. Or l'utilisation de la climatisation en ville peut entrainer une surconsommation d'essence pouvant aller jusqu'à 25% !
Depuis quelque temps, dans la foulée de ces nettoyants automobiles est apparue une nouvelle gamme de produits écologiques utilisables à la maison, au bureau ou pour les loisirs extérieurs. La composition de ces liquides est entièrement végétale et biodégradable. Ils ont de plus une action décrassante du support traité.
Compatibles de tous les types de verre et des plastiques transparents comme le polycarbonate. Ces produits à efficacité longue durée sont à appliquer avec un chiffon en coton et non une microfibre pour vitres dont le pouvoir décapant est trop fort. Simples, faciles à utiliser et très économiques à l'usage, c'est la solution écologique et pratique aux problèmes de condensation. Ces pulvérisateurs intéresseront les particuliers soucieux de bien voir au travers de leurs fenêtres mais aussi les professionnels du petit commerce pour lesquels une vitrine claire et transparente est un impératif économique.
Les amateurs de plongée sous-marine ainsi que les motards et adeptes du scooter seront aussi ravis de venir enfin à bout de ce brouillard qui leur gâche la vision derrière leur masque ou leur visière de casque.
Defining a Green City
How Can I Reduce My Bills With Sustainable Building Solutions?
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